Je viens de me rendre compte que j'ai passé la journée devant mon iBook sans avoir avancé d'un millimètre dans la rédaction de mon travail de session. Honte.
Je n'ai aucune motivation à compléter ledit travail, ce qui est un comble puisque mon travail... est en retard. C'est normalement dans ces contextes de vie ou de mort que je suis le plus productif, mais, par d'étranges circonstances connus du cosmos et de personne d'autres, les piles sont à plat.
À vrai dire, je suis écoeuré de l'université. J'en suis à un point où tout pour me débarasser des cours manquants de mon bac me rend heureux... même obtenir des D. Ce qui est bien le comble pour un gars qui souhaite être admis à la maîtrise.
Qu'on me permette de paraphraser Truffaut. Les sessions universitaires, c'est comme les voyages en diligence: au départ, on croit que l'on va faire un beau voyage, mais, au milieu du trajet, on ne pense qu'à arriver vivant à destination.
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3 commentaires:
Bonne chance! Des fois, je fais de l'overtime au bureau et pour me remonter le moral, je me dis "Au moins tu n'es pas en train de passer une nuit blanche sur un travail de session."
Merci pour les bons mots.
À vrai dire, il est 1:30 du matin, j'en suis à mon cinquième café de la soirée, et l'inspiration est venu. Le prof devra toutefois s'attendre à un travail bâclé et approximatif. :-(
Join the club! :-))
Je ressens souvent la même chose depuis la fin de mon baccalauréat. Il ne faut pas lâcher!!
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